©TENT / Hanneke Meijers

Portes vers moi tes pas

Collectif appel d’air

Chorégraphie : Jeanne Alechinsky & Yohan Vallée
Avec Jeanne Alechinsky, Stéphane Milochevitch & Yohan Vallée
Création musicale et sonore, musicien live : Stéphane Milochevitch (alias Thousand)
Création et régie lumière : Carine Gérard
Scénographie : Estelle Deniaud
Encre de Chine : Jeanne Alechinsky

Qui sommes-nous quand personne ne nous regarde ? Dans un monde hyper connecté, quelle place a aujourd’hui la solitude ? Décriée, utilisée comme une échelle de réussite sociale, elle divise et exclut celles et ceux qui la vivent. Porte vers moi tes pas s’érige contre le temps rapide, contre la rupture d’avec soi, contre la pression de paraître au risque de se perdre. Deux danseur·se·s et un musicien osent entrer dans une écoute intérieure, pour ensemble devenir garant·e·s de la solitude de tou·te·s.

Un certain printemps

Collectif appel d’air

Chorégraphie, scénographie et interprétation : Yohan Vallée
Dramaturgie : Gaia Saitta
Création sonore : Nicolas Rouleau
Lumière : Gérard Carine

Ici, dans une lumière faible, les pieds, fragiles et neufs, sont le point de départ d’une renaissance à venir, d’une métamorphose identitaire et d’un langage corporel singulier.

Un certain printemps est une pièce dansée intime jouant sur un certain décalage en se construisant avec et non sur Le Sacre du Printemps d’Igor Stravinsky. Ce solo offre une traversée où le danseur est au croisement d’une mémoire transgénérationnelle : s’y dessine la rencontre imaginaire entre un jeune homme et ses parents (ici représenté par deux grandes photographies) eux-mêmes figés dans leur jeunesse.
Porté par cette partition en clair-obscur, le solo passe au crible les événements qui nous construisent, les émotions qui nous traversent, les fêlures qui nous habillent. L’interprète explore les chemins noirs pour mieux tracer les limites entre la recherche personnelle (l’intime, le genre, la sexualité) et l’existence de l’Homme au cœur de la société ; bâtir son présent avec comme allié, le passé. Dès lors, les gestes premiers deviennent des signatures indéfectibles, des armes indélébiles.
La performance oscille entre pudeur et impudeur, vulnérabilité et violence. C’est aussi faire la lumière sur les ténèbres du monde qui nous entourent et qui influent sur nos lignes de vie.

Un certain printemps est une quête émancipatrice, où la convocation des souvenirs et des expériences accomplies permettent de se prémunir de l’aridité du monde, et d’y prendre part de tout son être. Singulier.

La joie

Cie internationale

Texte : Charles Pépin
Adaptation et jeu : Olivier Ruidavet
Mise en scène : Tristan Robin
Création sonore : Haykel Skouri
Lumières : Carine Gérard

Solaro traverse les épreuves de l’existence avec une force que les autres n’ont pas : il sait jouir du moment présent. Voici son histoire, celle d’un homme joyeux. La joie est cette force mystérieuse qui à tout instant peut rendre notre vie exaltante.

Maria et l’autre

Cie Les géotrupes

Texte de Rose Mary D’Orros
Mise en scène : Rose Mary D’Orros
Regard extérieur : Christian Esnay
Comédiens :Pauline Dubreuil, Gérard Dumesnil, Rose Mary D’Orros, Hélène Foubert, Laurent Pigeonnat
Musiciennes : Sylvie Magand  (accordéon et chant), Muriel Gastebois (percussions-vibraphone et chant)
Son : Frédéric Martin
Lumière : Carine Gérard
Costumes : Rose Mary D’Orros

Ça raconte une femme : Maria.
Elle nait dans les années 1930 dans un petit village reculé galicien en Espagne.
Sa vie est déjà toute tracée.
Ses parents, paysans aisés, la destinent à un fils de notable du coin, comme ils l’ont  fait pour sa sœur ainée.
Mais Maria rêve d’aventure, de bitume et de civilisation à travers les cartes postales envoyées par ses frères partis faire fortune en Amérique latine.
Elle part rejoindre son frère en Uruguay. A Montevideo.
Sa vraie vie commence là.
Elle a vingt ans.
Elle travaille, s’amuse, aime passionnément un homme.
C’est une femme libre et indépendante.
Et puis c’est la chute.
Ce grand amour déçu la conduit à Paris.
Elle rencontre l’Autre.
Alors commence son calvaire.
Ça raconte l’Autre.

Vivace!

Cie Jardin des délices avec l’Académie Fratellini

Avec : Anton Euzenat, Victoire Godard, Erika Matagne, Christian Padulla Angulo, Aimé Rauzier, Johnson Saint Felix, Jeremy Salar, Simon Martin, Cecilia Stock
Mise en scène : Luna Rousseau, Nathan Israël
Lumière : Carine Gérard
Son : Clément Janvier
Plateau/Accessoires : Paul Alphonse
Costume : Fanny Gautreau
Régie générale : Maxime Burochain
Production : Clélia de Biasi

Vivace ! Agilité, vivacité, ténacité, telles sont entre autres les qualités des apprentis du cirque. Vivace ! est une célébration de la ténacité à faire et refaire, à trouver de la joie dans l’infime détail, à tenter avec grandiloquence l’impossible. Une réaction en chaîne d’actions loufoques, de situations improbables, d’embûches à surmonter et de courses-poursuites azimutées du chamboule-tout humain au domino cascade géant, Vivace ! c’est le jeu, le cirque et la puissance de vie. Un spectacle à partager en famille !

Médée

Cie Les Géotrupes

Texte : Euripide
Traduction : Jean Delabroy
Mise en scène : Christian Esnay
Avec : Marie Desgranges, Laurent Pigeonnat, Rose Mary d’Orros, Thierry Vu Huu
Chant : Jeanne Sarah Deledicq
Composition / Piano: Marco Quesada
Son / régie générale : Frédéric Martin
Scénographie : François Mercier
Lumière : Carine Gérard
Costume : Rose Mary d’Orros
Diffusion : Bruno Lathulière

Médée traite de la fin de l’histoire de Jason et de Médée, qui ont tous deux fui vers Corinthe après que Médée eut tué Pélias, le fils de Poséidon et de Tyro et Roi de Thessalie, par amour pour Jason. Euripide fond en une seule tragédie d’une part l’ample épopée des Argonautes, d’autre part les traditions diverses qui font de Médée une meurtrière.Le remariage de Jason avec la fille du roi Créon, Créuse pousse Médée a laisser éclater sa colère et tenter de punir son mari. Le roi Créon la chasse alors en exil avec ses enfants, mais, supplié par Médée, il lui accorde cependant un délai d’une journée avant son départ. Médée décide d’em-ployer ce laps de temps à tuer Créon et sa fille Créuse. Devant Jason, elle confie à ses enfants un diadème et un voile empoisonnés, destinés à tuer la fille de Créon, en disant à Jason qu’il s’agit de présents visant à ama-douer la princesse afin que ses enfants échappent à l’exil. Les enfants reviennent, ayant accompli leur mission. Médée, troublée, les fait rappeler plusieurs fois en scène, sachant que le destin est désormais irréversible. Un messager vient annoncer à Médée la mort de la princesse, mais aussi de Créon. Médée tue ses enfants en coulisses. Jason rentre, craignant pour ses fils, mais il est déjà trop tard. Médée, montée sur un char tiré par des dragons, lui refuse de toucher les cadavres de leurs enfants et part pour la terre d’Égée, laissant Jason seul avec sa douleur.

Matière évolutive

Cie Nushka

Avec : Antek Klemm, Martin Schwitzke, Eyal Bor
Mise en scène : Antek Klemm
Lumière : Carine Gérard
Son : Tal Agam
Régie : Julien Torzec
Regard extérieur : José Triguero / Lola Joulin

Matières Évolutives est né du désir de confronter trois corps d’âges différents, du plus vieux au plus jeune : le grand-père, le père et le fils.
Ce cycle générationnel est le fondement structurel de nos sociétés. Il renvoie à une temporalité infinie dans le passé et évoque ainsi l’évolution de l’humanité.
C’est un collage de scènes qui mêlent jonglage, texte et images poétiques. On évoque des images universelles et les rapports intergénérationnels. Une fabrique d’images se fait en live avec les spectateurs et crée un voyage onirique à travers le temps. 
Entre sérieux, drôle et absurde, ce spectacle sera une expérience commune sur notre passé et notre présent, pour nous donner de l’espoir pour demain! 

Jack

TENT / Monki business

Avec : Liza van Brakel, Roel Gosto Vermeer, Eva Donker
Lumières : Carine Gérard, Eva Donker
Mise en scène : Benjamin Kuitenbrouwer
Production : TENT / Cahit metin
Diffusion : TENT / Rosa boon

Les Premiers

Jeanne Lepers

Texte : Jeanne Lepers
Mise en scène : Jeanne Lepers
Avec : Kristina Chaumont et Adrien Guiraud
Chorégraphe : Julien Gallée-Ferré
Scénographe : Lucie Gautrain
Création lumière : Carine Gérard
Son : David Hess
Soutien administratif : Pierre André Lacout

Deux êtres à la marge se rencontrent. Tantôt gueux, tantôt prince et princesse ces deux solitaires s’apprivoisent, s’aventurent et se dévoilent sous nos yeux. La tendresse devient possible, le grand n’importe quoi aussi. A tes côtés je peux tout faire. Regarde moi !

Happy piste

Alain Rey­naud et Heinzi Loren­zen

Pour l’Académie Fratellini

Interpretes : Augustin Mugica • Danilo Alvino • Maria Cuneo Olivares • Maxime Seghers • Simon Aravena • Tamila de Naeyer • Zoé Ballanger • Ephraim Gacon-Douard •
Assistante mise en scène : Alain Reynaud • Heinzi Lorenzen •
Musique : David Remy
Régie générale : Maxime Burochain •
Régie plateau/ Accessoire : Paul •
Création Lumières : Carine Gérard •
Regie lumière : Carine Gérard • Alice Huc •
Costumes : Alexandra Langlois •
Création et régie son : Clément Janvier •

Sauter, rouler, chuter, chanter, clowner ou déclowner, La piste ne manque pas de verbe… Action ! Ça tourne… Voici le cirque et son utopie ances­trale de con­stru­ire une famille, une troupe qui s’harmonise et dis­sonne dans ce cercle où tout est mou­ve­ment, élan et vital­ité. Les appren­tis arrivent : leurs regards bous­cu­lent le monde. Légers dans la grav­ité, graves dans la légèreté, ils vont ce soir tenter l’impossible : le saut de la vie ! Juchés sur un mât chi­nois, un fil ou sur les épaules du voisin, ils cohab­itent et nous invi­tent à les suivre dans ce ​ »chari­ravi » que représente pour eux ce pre­mier pas sur la piste.

Static

Monki Business

2019/2020

Auteur interprete: Benjamin MONKI Kuitenbrouwer •
Assistante mise en scène: Cathrine Lundsgaard Nielsen •
Production, diffusion : Julia Simon •
Regard exterieur: Lucho Smit •
Regards complices: William Thomas, Louis Vanderhavebeke •
Lumière : Carine Gérard •
Technique / Regie: Carine Gérard, Alice Huc •
Costumes: Fanny Gautreau •
Graphisme: Hanneke Meijers •

Static combine les différentes disciplines de Monki, le double mât chinois avec la musique live et le théâtre. Le résultat est une expérience unique alternant de moments musicaux calmes et des sequences de cirque explosives. Pendant cette performance, Monki explore l’espace au dessus et entre les deux pôles, à la recherche de nouvelles possibilités pour sa discipline. Dans Static le temps est central : donner et prendre le temps ; mais aussi la fascination pour des objets de sa génération mais aussi des objets plus vintage, mélange de platines et gameboys. Où la fascination finit et commence la nostalgie malsaine ? Pendant le spectacle, le public s’assoit autour de la scène, créant une proximité avec Monki qui partage ses interrogations sur ses premières bouffées de nostalgie et sur le temps qui passe – ensemble.

Monstro

Collectif sous le manteau

Auteurs et interprètes : Lisa Oedegaard • Cathrine Lundsgaard Nielsen • Benjamin Kuitenbrouwer (Monki) • Jesse Huygh • Catarina Dias • Anatole Couety • Valia Beauvieux •
Musique : Simon Toutain •
Regards complices : Fabian Wixe • Philippe Perrin • Olivier Letellier •
Technique : Clara Marchebout • Maxime Burochain •
Création lumière : Carine Gérard •
Création costumes : Fanny Gautreau •
Administration, production : Justine Gallan • Laurence Edelin •

S’emparant du mât chinois, discipline traditionnellement solitaire, cette équipe cosmopolite, composée de sept artistes issus des plus grandes écoles de cirque d’Europe et d’un musicien, entreprend de repousser les limites du genre. Elle nous invite dans un espace inédit, une forêt de mâts de hauteur différente, permettant aux acrobates d’inventer des parcours inédits, à la verticale comme à l’horizontale. De la cime jusqu’au sol, ce petit peuple des airs évolue, crapahute, vole, se regroupe et se déploie à l’intérieur de cet incroyable espace en acier, à la fois rigide et organique. Inspiré par les figures étranges de notre société, le collectif se questionne sur les relations humaines, les rapports de forces, notre perception de l’autre et celle que nous avons du monde et nous embarque dans un voyage à la fois drôle et loufoque, où des situations du quotidien prennent vie à cinq mètres du sol.

Chewing-gum silence

Antonin Tri-Hoang

(Première version)

Saxophone, clarinettes, clavier, composition : Antonin-Tri Hoang •
Piano préparé, percussions, voix, composition : Jeanne Susin •
Guitare acoustique, batterie, voix, composition : Thibaut Perriard •
Collaboration artistique : Samuel Achache •
Son : Jérémie Kokot •
Lumière : Carine Gérard •
Scénographie : Raffaëlle Bloch •

Des chercheurs ont établi que l’on pouvait se débarrasser d’une mélodie entêtante – les Allemands appellent cela un Ohrwurm, littéralement « ver d’oreille » – en mâchant un chewing-gum. La découverte a inspiré un spectacle musical à Antonin-Tri Hoang qui se fait gomme à mâcher sur pattes pour s’attaquer avec humour à ces airs qui nous hantent plus ou moins gentiment. Avec l’aide de ses deux acolytes musiciens et comédiens, le saxophoniste fait apparaître, disparaître et réapparaître des bouts de son, tout droit sortis de leurs boîtes, dans un joyeux jeu de poupées russes. Et si l’un de ces airs devait faire son nid dans votre oreille, prenez un chewing-gum.

Sodassi

Collectif d’artistes

AYED FADEL voix •
MAYA KHAledi voix •
RASHA NAHAS voix, guitare •
YOUMNA SABA voix, guitare, oud, effets •
DINA EL Wedidi voix, percussions, musique électronique •
SAMA ABDUL HADI machines •
KAMILYA JUBRAN direction artistique •

En arabe, Sodassi veut dire à la fois sextet et hexagone. Six musicien·ne·s professionnel·le·s venant de cinq villes du Proche-Orient formeront un sextet composé de cinq femmes et d’un homme. Iels sont palestiniens·ne·s, égyptien·ne·s et libanais·e. Iels ont entre vingt et trente-trois ans. Cet ensemble propose une polyphonie aux résonances à la fois classiques, populaires et contemporaines. Une polyphonie façonnée par une pulsation et des paroles qui se nourrissent de leur soif de liberté. Sodassi est un laboratoire où les musiciens peuvent se rencontrer en dehors de leurs habitudes et au-delà des frontières qui les séparent, sur un terrain neutre où ils sont libres de s’impliquer, partager, chercher, s’entraider, s’inspirer, expérimenter et construire leurs rêves.

Déliquescence

Collectif Echo de Salma

Conception : GERARD Clément • GERARD Carine •

Scénographie, vidéo : GERARD Carine •
Musique : GERARD Clément •

Déliquescence est une installation visuelle et sonore qui met en perspective l’environnement, l’homme et la nature.
Ses murs plissés, rugueux et figés servent de support à la vulnérabilité du vivant tandis que le son raconte l’homme et ses machines. Les murs, immuables, mémoire du temps voient passés les différentes vies humaines, ses différentes inventions techniques et ses évolutions exponentielles tandis que la frénésie cyclique de la vie organique se répète sans cesse.

[Venez] dans ma chambre

Tamara Schmidt

Une femme peut-elle être à la fois artiste, mère, amante, épouse, fille et tout cela à la perfection ? Qu’y-a-t-il en jeu derrière cet idéal ? Et au-delà ? La poète américaine Sylvia Plath a consacré sa vie et son oeuvre à ces questions qui restent actuelles. Une femme seule sur scène imagine et construit son propre théâtre de l’intime où elle dialogue avec ses fantômes. Elle y convoque ses amours, mais aussi sa mère, son père et s’invente au fur et à mesure différentes figures féminines. Elle ouvre la porte, appelle le monde, désire le lien.

Faire un feu

Compagnie petite nature

d’après le texte de : Jack London •
adaptation et mise en scène : Elise Truchard •
assistant à la mise en scène : Adrien Bailly •
avec : Gautier Boxebeld •
création sonore : Simon Drouin •
scénographie : Elise Truchard & Ale •
création lumière : Carine Gérard •
création vidéo : Julie Boissy & Paula Velez •
régie plateau : Mathilde Lemoine •
sculptures : Aurélie Perrigault-Michelet, David Deshommes •
accessoires : Alexis Kinebanyan, Hugo Martin •
costumes : Hélène Heyberger •
metteur en scène animalier : Manuel Thomas •
éducatrice canine : Vanessa Saint-Maurice •
chien : Inno •

Sans un mot, un homme traverse le Grand Nord avec un chien en ignorant délibérément son environnement… Faire un feu est un spectacle visuel et sonore destiné à un large public à partir de 8 ans.

Il s’agit de rendre visible, par le théâtre d’ombre, l’art numérique, le bruitage en direct et les arts plastiques, la rencontre entre l’homme et la nature. Cette histoire est mise en scène avec un acteur et un musicien/bruiteur live.

Emprise

Collectif Echo de Salma

Conception : GERARD Clément • GERARD Carine •

Scénographie et texte : GERARD Carine •

Musique et informatique : GERARD Clément •

Emprise est une installation sonore interactive et immersive qui propose de manipuler le concept d’influence. Par manipulation de sangles élastiques qu’il pourra tirer avec plus ou moins de force, le visiteur influera sur l’espace sonore.
Pour Emprise nous avons choisi de positionner le visiteur dans la peau de celui qui exerce l’influence, l’installation incarne l’individu qui la subit. Plus on tire sur les sangles, plus on pousse l’installation dans ses retranchements et dans sa fragilité.
L’auteur de l’influence est conscient de son action mais peut ignorer son impact. Emprise lui propose de vivre en direct, de l’intérieur, la réaction d’un individu à son contact.

Je veux, je veux

Compagnie Wanda

Conception : SIGRID BOUAZIZ & VALENTINE CARETTE •
Collaborations à la mise en scène :JULIEN LACROIX • HELENA KLOTZ • LARA HIRZEL •
Lumères : CARINE GERARD •
Scénographie : LARA HIRZEL •
Musique : FRANK WILLIAMS •

Parti d’une lecture de l’œuvre de Sylvia Plath « Je veux, Je veux » est un trio où se déplie les enjeux de la vie de l’auteure dans une construction organique et musicale.
Sur scène les interprètes Sigrid Bouaziz, Valentine Carette et Frank Williams incarnent à l’unisson l’écriture à la fois troublante et intime de Sylvia Plath, dont les échos et la tonalité de l’œuvre s’entendent comme un dialogue et une réflexion poétique sur l’isolement, la solitude, le doute, mais aussi sur l’absolue nécessité d’écrire, de créer et d’aimer.

Eurydice

Théâtre de l’Ecarlate

Mise en scène Yves Lenoir •
Avec :
Eurydice : Florine Chevrolet •
Orphée : Sylvain Urban •
Le père : Denis Wagner •
L’Homme Intéressant et Malintentionné/ Le Seigneur de l’Au-Delà : David Picard •
Petite Pierre : Jeanne Lazar •
Grande Pierre : Séverine Masse •
Grosse Pierre : Delphine Didier •
Lumières : Carine Gérard •

Orphée et Eurydice forment le couple parfait. L’un est passionné de musique, l’autre de littérature. Ils semblent très amoureux. Mais les choses ne sont pas aussi simples qu’elles ne paraissent. Eurydice meurt juste après son mariage avec Orphée, et disparaît dans L’Au-Delà. Elle y retrouve son père, avec qui elle va résister pacifiquement contre les règles du monde de ceux qui sont morts. Orphée, désespéré, descend la chercher dans les Enfers, et obtient le droit de ramener sa belle à condition de ne pas la regarder. Va -t-il résister à la tentation? A la fois touchante et drôle, cette revisite du mythe d’Orphée nous emmène dans un monde poétique, du point de vue d’Eurydice cette fois.